Entrevue inédite (2024) – Partie 2

Après une première conversation très complète amenant à comprendre les causes des accusations sectaires et la différence entre les sectes et les voies spirituelles véritables, nous poursuivons ce passionnant entretien avec Pierre Lassalle.
Dans cette deuxième partie, il est question des causes de la chasse aux sorcières actuelle en France, des conditions de mise en pratique des exercices spirituels issus des livres et du positionnement de notre auteur par rapport aux vaxx.
Balayant fermement les controverses et les accusations diffamantes, les éditions Terre de Lumière, amoureuse de la lumière et de la vérité, vous présentent la suite de cette conversation…

 

Une chasse aux sectes exacerbée en France

Terre de Lumière : Les autres pays ne vivent pas cette chasse aux sectes ! Pourquoi est-ce si exacerbé en France ?

Pierre Lassalle : Je crois que c’est à cause du côté intellectuel des Français. Le Français a une qualité, un potentiel particulier qui lui est reconnu, en principe, dans le monde entier, c’est sa pensée. Il a une bonne pensée. Et par exemple, on reconnaitra chez les Américains et les Anglophones, globalement, le fait d’avoir une bonne volonté ; ils sont capables de beaucoup agir dans le monde et réaliser pleins de grandes choses… alors que le Français, l’action, ce n’est pas trop son truc ! En revanche, il a une bonne pensée donc on trouve beaucoup d’inventeurs en France, qui vont ensuite en Angleterre ou aux Etats-Unis pour trouver des gens qui vont manifester leur invention ! C’est un grand classique.
Je pense que l’intellectuel ou l’intellectualisme est très critique de nature. Certes, il peut y avoir une bonne critique et un bon doute aussi, mais bon… dans notre société actuelle, c’est de plus en plus rare de trouver un bon critique, quelqu’un qui a un « vrai doute ». En général, cela part tout de suite dans la négativité et ensuite dans la démolition.
De plus, comme le Français est très intellectuel, il est aussi très cartésien et très laïc. En général, il rejette tout ce qui est religieux et il amalgame cela à la spiritualité et rejette tout en bloc !
Aux Etats-Unis, par exemple, les gens sont beaucoup plus religieux, et même s’ils ont eu leurs histoires de secte pendant un certain temps… il y a eu un tel scandale, je ne rentre pas dans les détails, mais c’était une grosse secte soi-disant où ils ont envoyé l’armée, ils ont tué tout le monde, pour s’apercevoir quelques mois après, qu’il y avait beaucoup de femmes et d’enfants et que ce n’était pas du tout une secte ! Et c’était à cause d’une association anti-secte qui s’était laissé convaincre et ils avaient tué 60 ou 80 personnes, c’était un vrai massacre ! Les gens de l’association anti-secte sont allés en prison, ils ont eu un ou deux milliards d’amende, et puis ça a été fini, les chasses aux sectes étaient terminées. Donc depuis environ 20 ou 30 ans, cela n’existe plus aux Etats-Unis.

Au Québec, à ma connaissance, cela n’a jamais existé, en tout cas je n’en ai jamais entendu parler… sauf un tout petit peu quand internet et les réseaux sociaux se sont développés, parce que comme c’est mondial, ils ont entendu parler de certaines choses aussi, mais cela ne s’est jamais développé. Et même en Suisse, très peu.
C’est davantage en France et en Belgique que cela s’est beaucoup, beaucoup développé à cause de cet état d’esprit, cet intellectualisme hyper critique et très laïc qui rejette la religion. C’est vrai que ceux qui rejettent la religion, l’amalgament souvent avec la spiritualité, parce qu’ils ne connaissent pas les différences.
Bien sûr, en Orient, il y a très, très peu ce phénomène, sauf dans les pays qui virent un petit peu à l’Occidentale, genre Japon, où il y a eu parfois des histoires de sectes aussi, mais c’est très peu par rapport à l’Occident.

Lecture des livres et mise en pratique

Terre de Lumière : Tu as créé des stages pour que chacun puisse mettre en pratique tes exercices : est-ce que les gens qui expérimentent tes méthodes lors de ces activités sont tes « élèves ».  As-tu des élèves ?

Pierre Lassalle : Disons que comme tu viens de le dire, j’écris des livres et en général les stages que je crée et anime sont liés aux livres. Par exemple, je sors un nouveau livre dans lequel se trouvent des exercices, un enseignement particulier à mettre en pratique, et quelques temps après, souvent je propose un stage en lien avec ce livre, pour aider ceux qui le veulent à l’intégrer. Ils ne sont pas forcément toujours les mêmes d’ailleurs. Ils participent à ces stages parce qu’ils ont lu le livre. Ce sont donc forcément des lecteurs, c’est le vrai terme, propre à eux.
Ensuite, le fait qu’ils mettent en pratique vraiment, ou pas, ça c’est une autre histoire ! Tous les écrivains qui proposent des exercices dans leurs livres, savent bien que 90% voire 95% des lecteurs, ne les mettent jamais en pratique : ils trouvent cela génial, donc c’est un avantage, une bonne chose de mettre des exercices dans les livres car les gens apprécient, mais très rares sont ceux qui les appliquent ! D’où l’intérêt d’animer des stages pour leur montrer à quel point c’est super de mettre en pratique, car cela peut amener tel et tel bienfaits, et les encourager car ce serait dommage de passer à côté.
Et donc là, c’est comme un deuxième stade : ces gens qui sont venus au stage, sont titillés et ont envie de pratiquer par la suite dans leur vie, mais ils ne seront peut-être qu’un tiers à le faire (soyons sympas !), parfois un petit peu plus, mais bon, ça se situe à peu près dans ces eaux-là. Ceux qui vont vraiment appliquer les exercices, sont souvent des gens qui m’écrivent : voilà, j’ai expérimenté tel exercice, j’en vécu telle chose, etc. Parfois, je leur expose mon point de vue, je les encourage, c’est assez simple, bon enfant.
Ceux qui mettent en pratique, je les appelle des aspirants. Non pas des élèves comme on dirait dans des classes, des écoles, etc. Ils sont des aspirants. C’est un terme technique dans l’évolution spirituelle : ce sont les individus qui « aspirent » justement à accéder au monde spirituel ou à leur Âme céleste, leur partie divine, ou parfois à leur Ange gardien. Ils aspirent à rencontrer cette dimension invisible à laquelle ils peuvent avoir accès avec les méthodes de méditation et certains exercices que j’enseigne dans mes livres.
Ces gens sont une petite partie de ceux qui ont participé au stage, qui eux-mêmes sont une petite partie des lecteurs. En somme, ce sont des lecteurs plus motivés, et ils deviennent des aspirants s’ils mettent vraiment en pratique certains exercices de mes livres, expliqués en stage. Mais c’est sûr, cela représente une poignée de gens !
Donc, ça me fait rire parfois quand certains disent : ouais, c’est un gourou, il gagne plein de fric avec tous les élèves qu’il a !! Ben moi, j’aimerais bien… (Rires) non pas gagner « plein de fric » parce que je m’en moque, mais un petit plus parfois… parce que c’est vrai que je ne vends pas assez de livres pour pouvoir ne faire que ça ! Heureusement je donne un stage de temps en temps, mais bon il y a certaines années, allez on est entre amis, je peux le dire, j’atteins le Smic ! (Rires) Je suis loin de gagner des mille et des cent et quand une année je gagne soi-disant beaucoup d’argent, je n’atteins même pas ou alors tout juste le Smic suisse ! (Rires) Bon, il est plus élevé que le français, mais c’est quand même le Smic et il n’y a pas de quoi se relever la nuit et hurler à la mort ! (Rires) Donc, c’est peu.
Mais tout ceci pour dire qu’en fait, il y a plein, plein, plein de gens qui veulent se dire « élèves », juste parce qu’ils m’ont rencontré dans une conférence, ou ils m’ont serré la main, ou ils se sont fait dédicacer leur livre ! Ensuite, ils disent : moi je suis l’enseignement de Pierre Lassalle, j’ai tous ses bouquins, je suis son élève. Euh… non… il faudrait que tu mettes en pratique or je ne te connais même pas ! Tu ne fais même pas partie de la poignée de gens que je connais un peu, parce que, eux au moins, ils s’exercent à la pratique, mais cela reste vraiment un très, très petit nombre.
Et même pour dire, puisqu’on est entre amis, le seul vrai « groupe », qui tient depuis déjà un certain temps, parmi les aspirants qui mettent en pratique, ils sont juste une demi-douzaine ! Donc si je devais vraiment clamer : waouh la secte que j’me trimballe, j’en ai au moins… six !! (Rires) Bon… voilà. Si vous êtes obsédés par la secte et que Pierre Lassalle c’est forcément une secte, alors oui, eh bien, ils sont…six ! (Rires) Je suis désolée, mais c’est assez pitoyable !
Pour résumer : je préfère nettement mieux les termes d’écrivain et de conférencier, car c’est concret et réel. Et puis… oui, je crée et j’anime certains stages pour les lecteurs (un ou deux par an), dont une petite partie devient des aspirants. Et admettons, si je donne un seul stage avec une soixantaine de personnes et si 30% à peu près vont devenir des aspirants, cela ne fait jamais que 15-20. Et parmi eux, quelques-uns vont faire cela pendant un an, d’autres deux ans, et d’autres je ne les reverrai plus jamais. Il n’y a donc pas de « groupe officiel » qui vivent ensemble et qui reste toujours les mêmes !

Terre de Lumière : Finalement, c’est très mouvant !

Pierre Lassalle : Oui ! Cela n’a rien à voir avec une secte, où les gens sont enfermés dans un même lieu, tout le monde vit ensemble, et ce sont toujours les mêmes tout le temps et pendant des années. Je n’ai jamais connu cela, parce que je ne veux surtout pas vivre avec les gens ! Ils font ce qu’ils veulent dans leur vie, ils ont leur métier, ils vivent comme ils veulent. Tu ne peux pas avoir de secte si personne ne vit ensemble ! (Rires) Ou alors, il faut avoir des millions et des millions et posséder des chaines de télévision qui diffusent à longueur de journée chez tous les gens de ta secte, avec des émissions spéciales à regarder. Enfin… je ne sais pas comment on pourrait faire à ce moment-là ? Il y en a qui s’y essayent, mais je ne sais pas si ça marche. Sinon, il faut vivre avec les gens tout le temps et les manipuler tout le temps, tous les jours, donc il faut aimer ça, c’est un travail à plein temps ! (Rires)
Franchement, ce n’est vraiment, vraiment, vraiment pas mon truc ! J’aime trop les gens pour leur faire des saletés pareilles ! Je préfère vraiment que les gens se découvrent, apprennent à être eux-mêmes, et qu’ils pensent par eux-mêmes, qu’ils créent ce qu’ils ont envie de créer… ça leur fait une vie sympa, je préfère vraiment ça, et… qu’ils soient libres !

Les conditions pour pratiquer les exercices

Terre de Lumière : Est-ce que tous les lecteurs de tes livres peuvent pratiquer les exercices tous seuls chez eux, sans aller en stage ?

Pierre Lassalle : C’est difficile à dire parce qu’il faudrait pouvoir être derrière chacun… ! Mais bon, c’est sûr, tout le monde ne peut pas pratiquer des exercices de spiritualité. Et, je sais très bien, mais que rares sont ceux qui expérimentent puis appliquent les exercices que je propose dans mes livres.
Je dirais que, derrière cela, il y a une espèce de sécurité inconsciente qui fait que, si ce n’est pas bon pour les gens de faire ce genre d’exercices, tu peux être sûre qu’ils ne le feront jamais ! J’ai pu le vérifier, au fil des années, à travers des lecteurs qui me disent par exemple : « je suis venu suivre votre stage, parce que pour les exercices, je n’étais pas sûr, ok c’est bien expliqué, mais quand même, j’ai besoin qu’on me montre, qu’on m’explique vraiment le pourquoi et le comment. J’ai peur de me tromper ou de mal le faire, ou que cela ne donne pas les bienfaits escomptés, alors qu’avec vous, je suis sûr d’avoir vos explications en direct et que ça fonctionnera bien. »

Terre de Lumière : Ils ont besoin d’être mis en confiance ?

Pierre Lassalle : Oui. La plupart du temps, les gens n’ont pas assez confiance, ils ont trop peur de les mettre en pratique seuls. Donc finalement ça ne risque rien que mes exercices soient dans les livres adressés à tous !
D’un autre côté, c’est sûr qu’il y a aussi des lecteurs qui ne sont pas faits pour l’évolution spirituelle, ni pour pratiquer ce genre d’exercices : cela n’empêche pas qu’ils vont aimer le livre, mais ils n’effectueront pas les exercices, tout simplement.
En revanche, parfois certains parmi eux peuvent quand même aller jusqu’à expérimenter un stage. On a vu cela au début, et donc on en est arrivé à établir une sorte de liste de critères : telles et telles gens, on ne peut tout simplement rien pour eux…
Eh oui, dans notre société, les gens cherchent beaucoup la prise en charge ou le sauveur, et quand ils ont l’impression que quelqu’un a certaines capacités hors du commun ou certains « pouvoirs », tout à coup ils se mettent à courir, ça y est lui, il va me sauver ! même s’ils ne se le disent pas consciemment, mais quand on les voit arriver, ils ont les yeux qui s’allument de partout, ce n’est pas normal ! (Rires).
Aux tous débuts, il y a 30 ans, il m’est arrivé deux-trois fois de me faire avoir comme ça : ne pas repérer ces gens à l’avance et ne m’en rendre compte qu’après coup : Oh làlàà… mais cette personne n’est pas du tout équilibrée, ça ne va pas du tout ! Elle n’est pas faite pour ce genre d’exercices, elle en est très loin ! C’est sûr qu’elle est venue là parce qu’elle croyait que j’allais la sauver d’un coup de baguette magique ou je ne sais pas quoi ! Son handicap est trop lourd !

Terre de Lumière : Ces critères se sont établis au fur et à mesure de certaines expériences qui n’étaient bonnes pour personne finalement ?

Pierre Lassalle : Oui, c’est ça. Au début, je connaissais très bien mes méthodes, je savais très bien les enseigner… mais par rapport au fonctionnement des gens, j’étais loin de tout connaître encore.
J’ai appris que l’attente du sauveur est vraiment énorme de nos jours, et ceux pour lesquels cette attente n’est pas comblée, ou pas à la hauteur de ce qu’ils désirent, eh bien ils peuvent être très, très en colère, voire devenir tes pires ennemis ! Ça peut aller parfois très loin. Même si tu les aides, ils sont loin d’être fous de reconnaissance et de gratitude, ils en veulent toujours plus ! Donc non, ce n’est pas possible. C’est trop dangereux.
A mes dépends, j’ai vraiment compris que les personnes qui ont des gros problèmes tant physiques que psychiques, cherchent beaucoup le sauveur et la prise en charge, et si tu tombes là-dedans et si tu les prends en charge, ne serait-ce qu’un petit peu, tu ne peux plus t’en débarrasser. Soit, coup de bol, la personne est sauvée pour de bon, soit tu peux être sûr que ces personnes seront tes ennemis et essaieront de te démolir par tous les moyens !
Les critères pour la participation aux stages découlent de ces expériences, et on y a donc mis que toute personne avec un gros problème physique ou psychique, ne peut pas participer aux stages.

Terre de Lumière : C’est aussi un état d’esprit de base : pouvoir se prendre en charge de manière autonome dans sa vie, sinon cela se reporte ensuite dans le cheminement spirituel et donc sur toi…

Pierre Lassalle : Tout à fait. On s’est aperçu qu’il y a des choses qui sont de notre domaine, à savoir l’évolution spirituelle, mais la personne doit démarrer sur une base où elle est saine de corps et d’esprit, où elle est suffisamment équilibrée dans sa vie, elle se prend en charge toute seule.
Forcément on a rencontré plusieurs comme ça : une personne a tel problème, telle faille, dont nous ne sommes pas au courant, et c’est sur nous que cela retombe ensuite !
Désormais, on est beaucoup plus prudent. C’est sûr, il y a toutes sortes de choses que l’on peut faire, mais on n’est pas l’armée du salut, on n’est pas des sauveurs, on n’est pas un hôpital, on n’est pas une religion, on n’est pas apte pour faire rencontrer l’âme sœur aux gens, ce n’est pas notre job !

Terre de Lumière : Les critères que tu as établis permettent donc d’enlever des illusions à ces gens qui auraient des attentes, à plus ou moins haute dose, et cela aussi te protège des dérapages de ces attentes excessives… et justement de ce qui génère ensuite des retours sectaires.

Pierre Lassalle : Oui, c’est ça. Cela fait maintenant 20 ans voire plus qu’on a peaufiné ces critères. Et c’est vrai que parmi les gens qui se demandaient si on était une secte ou pas, dont des gens qui menaient même une enquête sur nous ! en lisant nos critères, et en écoutant nos explications sur le « pourquoi » de tels critères, ils ont trouvé cela juste. Connaissant un peu la société, ils se sont dit, oui, en effet, vous n’avez pas envie de passer pour une secte, vous ne voulez pas vous ramasser tous les gens qui sont mal dans leur peau, qui ont des problèmes physiques et/ou psychiques, parce qu’ensuite comme ils n’auront pas la satisfaction de leurs attentes, ils vont dire que c’est votre faute.
Eh oui ! Comme on n’a pas envie de cela, il faut forcément être très vigilant. Certains peuvent vraiment virer du gentil nounours au gars fou de rage parce qu’on ne peut pas le sauver ! Et ce qui est nouveau depuis quelques années, c’est l’accentuation du mensonge : la quête de prise en charge est tellement énorme pour certains, et ils veulent tellement être sauvés, que même parmi les critères, ils cachent ceux qu’ils ne remplissent pas !

Terre de Lumière : Et ça crée des gens en colère et ensuite, sans leurs attentes récompensées, qui sont aussi les proies de gens qui vont te casser du sucre sur le dos !

Pierre Lassalle : Oui, c’est un scénario qui s’est notamment passé avec les histoires de vaccinés ou pas vaccinés contre le covid 19. On a malheureusement eu plusieurs fois, des gens qui nous ont menti par rapport à ce sujet, alors que c’est un critère de base pour nos activités. Non, non, moi je suis non vaxx, et je vis dans un environnement non vaxx, mais finalement on apprend par une autre personne que sa compagne est vaxx ! Des gens mentent délibérément pour entrer aux stages ou conférences, c’est hélas assez courant alors que, nous ne voulons pas…

Des activités pour non vaxx

Terre de Lumière : Peux-tu expliquer pourquoi vous ne voulez pas de vaxx dans vos activités ?

Pierre Lassalle : Oui, bien sûr. Cela se base sur des expériences bien réelles.
En été 2021, quelques amis, tous non vaxx, sont allés dans un camping, et sur place ils ont rencontré des gens vaxx. Le dernier jour, ils ont même vécu une méditation, mélangés avec des vaxx. Puis, quand ils sont rentrés chez eux, ces amis non vaxx et en pleine forme à la base, étaient tous très malades ! Et donc, ils ont filé leur virus à d’autres personnes, dont leurs proches, cela s’est amplifié à grande vitesse et plein d’autres personnes sont également tombées malades les unes après les autres !
Après étude, on s’est rendu compte que les gens vaxx projettent ce qu’on appelle les protéines spike, qui sont des virus beaucoup plus dangereux que le covid 19 !
On a également vécu cela dans un stage : un participant non vaxx avait une petite amie non vaxx également, mais elle avait donné des massages à des vaxx juste avant. Elle a choppé une/des protéines spike, son compagnon aussi, lui est venu au stage et sur 70 personnes, 60 ont été gravement malades !! Ensuite, en rentrant chez eux, cela a généré encore 20 ou 30 autres personnes malades !
On a eu vraiment des preuves absolues que les gens vaccinées contre le covid 19 « excrètent », comme l’ont affirmé les laboratoires Pfizer : oui, cela peut arriver que des gens qui sont injectés avec nos vaccins excrètent des protéines de pointe, protéine spike, et cela peut être dangereux pour les non vaxx qui les reçoivent.
Eh oui, on a vu ! On se retrouve très gravement malade pendant au moins trois semaines, on perd le goût et l’odorat pendant plusieurs mois. C’est beaucoup plus grave que le covid 19 !
Donc, concrètement, comme on ne fait rien de manière intellectuelle ou parce que c’est la mode, mais toujours d’après nos expériences, et en l’occurrence ces deux expériences qui ont rendu malades plusieurs dizaines de gens que nous connaissons, on s’est dit : il n’y a aucun doute que les vaxx projettent des protéines spike et que cela peut rendre gravement malades ! Et comme on ne sait pas trop ce qu’il y a derrière finalement, en tout cas on sait que c’est très dangereux, alors on a tranché et c’est fini !
On connait même une secouriste très sensible qui se demandait : mais qu’est-ce que c’est que ce virus, il se promenait partout en moi, on aurait dit qu’il cherchait un terrain pour me rendre encore plus malade, je n’ai jamais rien vu de tel, comme s’il avait un but destructeur, acharné ! Par prudence, on a décidé que non, on ne prendrait plus de gens vaxx dans nos activités. Ceux qui croient aux « vaccins », c’est leur problème, mais nous, c’est non. Beaucoup trop dangereux.

Terre de Lumière : Vous protégez ceux qui veulent venir dans vos stages et conférences car ces deux expériences sont très graves, et c’est déjà trop !

Pierre Lassalle : Oui ! C’est aussi pour protéger tous les participants ! C’est ça qu’il faut bien comprendre. C’est une protection fraternelle. On leur offre un espace sain ! C’est un choix bénéfique pour tout le monde.

En résumé : Qu’est-ce qu’une secte ? Comment elle fonctionne ?

Pour cette compréhension, je me réfère à des articles que j’avais lus, il y a quelques années, dans une revue anthroposophique, écrit par un auteur qui était « fan » du Bouddha Gautama et qui voulait pratiquer le bouddhisme. Il a cru que le meilleur moyen était d’entrer dans un ashram (communauté) tibétain (il y en avait de plus en plus qui s’établissaient en France). La première chose à retenir est qu’une secte, c’est toujours un groupe de gens, assez conséquent, qui vivent hors du monde, dans un lieu où ils sont coupés de leur famille, de leurs amis et de la société. Voilà un résumé de ce qu’il a décrit : chaque jour les « apprentis » bouddhistes devaient participer à des activités sans aucun intérêt et tout en répétant des mantras en sanscrit que personne ne comprenait : cette pratique « lave » la cervelle des gens, car il ne faut pas réaliser des actions sans être conscient de ce que l’on fait ni en pensant à autre chose, sinon notre conscience diminue, ainsi que notre mémoire et notre présence à la vie (dans la matrice, la vie quotidienne a tellement d’importance, n’est-ce pas ? Vous comprenez pourquoi, maintenant ?). Ensuite, il ne leur était donné que très peu à manger et ils les obligeaient à très peu dormir : cela signifie que les gens deviennent de plus en plus faibles, ne pouvant récupérer de leurs efforts de la journée. Au bout d’un an de cette pratique, notre apprenti bouddhiste s’est rendu compte qu’il commençait à perdre la mémoire et qu’il n’était plus capable de penser correctement ! Il a donc quitté ce qu’il a appelé une « secte » !

Terre de Lumière : Merci pour tes réponses !

Pierre Lassalle : Avec joie.